L'économie du Pays DSainte-Baume sur
Internet
Pourquoi utiliser Internet ?
français et l'anglais.
Vous pourrez ensuite rechercher les informations sur le patrimoine, les diverses
activités (expositions, conférences-projections, sorties pédestres
guidées, randonnées sportives...), l'hébergement et la
restauration, les adresses utiles.
Les établissements scolaires trouveront les itinéraires proposés
et l'intérêt pédagogique de chacun d'eux.
Pour le moment tout cela est en construction. Prenez patience!
Dans quelques mois, l'outil sera d'une
grande efficacité... G
Nouvelles brèves du Pays Sainte-Baume
• le projet repose sur la communication : nous sommes partis du constat
d'un manque évident de communication entrnouvelles briè
La Roquebrussanne
Le Jardin d'Elie Alexis à La Roquebrussanne
Après plusieurs années difficiles au cours desquelles l'on pouvait
craindre la disparition définitive du jardin botanique né du génie
et de la persévérance d'Elie Alexis, l'année 1996 a enfin
apporté quelques satisfactions aux responsables de l'association Sauvegarde
du Jardin d'Elie Alexis. Elles laissent entrevoir maintenant une réelle
possibilité de préserver cette partie du patrimoine du Pays Sainte-Baume.
Le 16 mars, la projection d'une série de photos inédites de M.Claude
Vénézia, prises du vivant d'Elie Alexis, a réuni 70 personnes,
prouvant ainsi l'attachement de La Roquebrussanne à ce jardin si particulier
et à son créateur.
Les 30 et 31 mars, 350 personnes ont participé aux journées portes
ouvertes.
Le 15 avril, le domaine du Rayol a envoyé 7 personnes qui ont participé
à l'entretien du jardin.
L'événement le plus encourageant pour l'avenir est la prise de
position de la Région (Agence Régionale Pour l'Environnement),
du Ministère de l'Environnement (Direction Régionale de l'Environnement)
et du Conseil Général du Var qui se sont inscrits, au cours d'une
réunion tenue le 16 avril, en faveur de la sauvegarde du jardin d'Elie
Alexis. La présidente de l'association, Nicole Manera, est décidée
à obtenir la concrétisation de cette décision de principe.
Enfin, sur les conseils de l'Ecomusée du Pays Sainte-Baume, l'association
Sauvegarde du Jardin d'Elie Alexis a obtenu une subvention de ; 15.000 F de
la société Nature et Découvertes, dans le cadre des aides
aux actions en direction du patrimoine naturel. Cette aide permettra de financer
les travaux de remise à niveau du jardin commencés il y a plusieurs
années.
Rappelons enfin que le jardin peut être
visité par petits groupes (25 personnes
maximum). Pour cela, prendre contact
avec l'Ecomusée. O
Pharmacopée traditionnelle du Pays Sainte-Baume
Caroline Rieu, pharmacienne à Saint-Maximin, a obtenu son doctorat en
pharmacie en présentant une thèse sur la pharmacopée traditionnelle.
Son étude a porté sur la commune de Pourcieux dont la flore est
proche de celle de la Sainte-Baume. Elle rassemble un nombre d'informations
impressionnant sur l'utilisation des plantes régionales pour le traitement
des maladies les plus courantes.
Ainsi, dans le chapitre des maladies de peau, au mot verrue on trouve confirmation
de ce que l'on savait par ouï-dire, sans l'avoir vraiment expérimenté,
de l'action du lait d'euphorbe sur la verrue. L'application doit être
quotidienne jusqu'à ce que la verrue disparaisse. En revanche, on y apprend
que l'on obtient le même résultat avec du lait de feuille ou de
fruit de figuier ou du lait de chélidoine.
Il existe aussi des formules magiques recueillies au cours de l'enquête
menée auprès des habitants de Pourcieux. Elles sont plus divertissantes.
Nous vous en livrons quelques unes :
La première méthode consiste à prendre une pomme bien dure
et à l'enterrer. Lorsque la pomme est pourrie, la verrue s'en va !
La seconde consiste à prendre trois pois chiches ou trois fèves,
à les jeter dans un puits et à partir en courant le plus vite
possible. Si l'on n'entend pas tomber les pois chiches, la verrue doit disparaître
dans les jours qui suivent. Il ne se passera rien si vous entendez tomber les
pois chiches ou si vous chutez en vous éloignant du puits !
La troisième méthode est moins sportive
Editorial